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Le Progrès est un journal d'annonces légales, ou JAL, habilité dans le(s) département(s) :
La publication d'une annonce légale dans le journal d'annonces légales Le Progrès en utilisant la plateforme dédiée Legalin.fr est très simple. Il vous suffit dans ce cas là de :
Le Progrès est un journal régional français qui paraît pour la toute première fois le 12 décembre 1859 et dont le siège social est sis à Lyon. Il est diffusé dans l'Ain (éditions Bourg - Bresse - Val-de-Saône-Nord, Dombes - Côtière de l'Ain, Oyonnax - Léman - Bugey - Bas-Bugey), la Haute-Loire (édition de la Haute-Loire), le Jura (éditions de Dole et Nord Jura, Édition de Lons - Champagnole et du Haut Jura ), la Loire (éditions de l'Ondaine, Édition de Saint-Étienne, Édition du Forez, Édition du Gier et du Pilat, Édition du Roannais), le Nord-Isère, et le Rhône (Est Lyonnais, Ouest Lyonnais et Val de Saône, Oullins - Givors - Monts du Lyonnais, Tarare - L'Arbresle - Monts du Lyonnais, Villefranche et Beaujolais, Lyon Villeurbanne).
Le premier numéro du modeste journal d'annonces légales (modeste, à l’époque !) Le Progrès paraît le 12 décembre 1859, dans la Presqu’île de Lyon, sous l’impulsion de M. Chanoine, maître imprimeur à Lyon.
Le journal d'annonces légales Le Progrès est composé à la main et tiré à 1000 exemplaires sur des machines bruyantes installées au sous-sol de l’hôpital de la Charité. Quatre pages grand format, vendues 15 centimes. À cette époque, l'entreprise est familiale et se définit comme un journal indépendant d'opposition républicaine… Le titre sera purement et simplement classé « républicain radical » sous le Second Empire. Sous la Troisième République, il soutient souvent Édouard Herriot - maire de la ville de Lyon de 1905 à 1940, puis de 1945 à sa mort, en 1957, membre du Parti radical et figure éminente de la IIIe République- contre Le Nouvelliste, journal catholique, conservateur et populaire, concurrent historique du journal Le Progrès ; notamment lors de la polémique sur la destruction de l'Hôtel-Dieu*. Le journal est racheté en 1880 par Léon Delaroche et fera l’objet, de 1890 à 1905, d'un supplément dominical : Le Progrès Illustré. Grâce à la mise en place d’un système d'éditions géographiques et grâce à l’essor de la publicité, il atteindra en 1902 un tirage de 200 000 exemplaires par jour. Ses prises de position politique sont toujours de tendance radicale, de la fin du XIXe au début du XXe siècle. L'histoire politique lyonnaise (assassinat de Sadi Carnot, affaire Dreyfus, élection d'Édouard Herriot, Première Guerre mondiale) est régulièrement évoquée -par ailleurs, avec justesse- dans les colonnes du quotidien.
Lorsque la Deuxième Guerre mondiale éclate en 1939, le journal d'annonces légales continue, dans un premier temps, à paraître. En avril 1940, Léon Delaroche décède et c'est Émile Brémond, époux d’Hélène Delaroche, fille de Léon, qui lui succède. Mais la direction et les journalistes de l’époque, en désaccord avec la politique imposée par le Gouvernement de Vichy, décident, lors de l'occupation de la zone libre dès le 12 novembre 1942, d'interrompre sa parution (Le Progrès est le seul, parmi les quotidiens lyonnais, à cesser sa parution)… tout en continuant à payer son personnel. Le journal paraît à nouveau le 8 septembre 1944, au moment de la Libération, et affronte de nouveaux titres, qui disparaîtront progressivement. La concurrence est rude. Il convient, pour la direction, de relancer le quotidien, qui a perdu de nombreux des lecteurs. En plus des difficultés de la presse inhérentes à l’après-guerre, le rachat des journaux voisins du Progrès, nécessaires à son expansion, est plus complexe que prévu. La direction change de mains, ce qui complique encore la situation… Mais l'heure est à l'absorption : L’Écho du Sud-Est absorbe La Liberté ; Le Progrès, quant à lui, réussit finalement à absorber L'Écho-Liberté. D'autres titres comme La République/Le Patriote, disparaissent en 1956, victimes indirectes des événements de Hongrie (la révolte populaire spontanée contre le régime communiste hongrois). Tant bien que mal, le journal d’annonces légales perdure et parvient à reprendre du poil de la bête.
En 1959, à l’occasion de son centenaire, le tirage atteint les 391 000 exemplaires contre 150 000 en 1946. En septembre 1966, Le Progrès signe un accord avec Le Dauphiné Libéré en vue de rapprocher les deux titres. La famille Brémond perdra progressivement la main sur le titre. En effet, en 1971, Émile Brémond est remplacé par son fils Jean. Jean-Charles Lignel fait son entrée à la direction du quotidien. Les deux familles, détentrices à parts égales des actions de la société Delaroche, entrent en conflit. En 1979, ledit conflit se termine par une vente aux enchères privée ordonnée par la cour d'appel de Paris. Jean-Charles Lignel devient le propriétaire du journal Le Progrès. Le Dauphiné Libéré et Le Progrès redeviennent indépendants.
Dans les années 1980, le Progrès n’aura pas de concurrent sérieux, pas même l’éphémère Lyon-Libération tiré à 4000 exemplaires (ce qui reste honorable).
En 1986, l’acquisition du Progrès et du Dauphiné Libéré par le groupe Hersant est effective.
En 2004, le Progrès ainsi que l’ensemble des titres de la Socpresse (anciennement le groupe Hersant) sont rachetés par le groupe Dassault.
En février 2006, le groupe L’Est Républicain rachète le groupe Le Progrès/Le Dauphiné Libéré, avant d'être lui-même racheté par SIM (ou groupe EBRA), une filiale du groupe Crédit-Mutuel en 2009.
Le journal d’annonces légales Le Progrès a depuis 2007 son siège social au nouveau cœur de la ville de Lyon, dans le quartier de La Confluence, où il peut laisser s’épanouir à loisirs de grandes ambitions (dont la conquête du web) communes à l’état d’esprit de l’agglomération lyonnaise. Sa réputation n’est plus à faire dans les 5 départements suivants : le Rhône, l'Ain, le Jura, la Loire et la Haute-Loire. Il est par ailleurs habilité à publier des annonces légales dans les départements de l'Ain, du Jura et du Rhône. Le JAL Le Progrès comptabilise en effet une audience on ne peut plus conséquente ; sur le web, avec environ 600 000 visites par jour (avec plus de 20% de pénétration sur les sites médias, leprogres.fr se positionne en tant que 1er site d'information de la région), et surtout, dans sa version papier, avec plus de 900 000 lecteurs par jour ! Le 12 décembre 2019, Le Progrès a fêté, en compagnie de ses fidèles lecteurs, son 160e anniversaire. Si le titre a su évoluer avec son époque, il se dit fidèle à son histoire et entend continuer à afficher, au quotidien, une position républicaine à laquelle il ne déroge pas depuis sa création !
Le saviez-vous ?
L'édition de Saône-et-Loire du Progrès, à savoir Le Journal de Saône-et-Loire, hebdomadaire fondé à Mâcon en 1826 puis devenu quotidien en 1831, est le plus vieux quotidien régional français encore en activité. Son siège se trouve aujourd'hui à Chalon-sur-Saône. En 1967, il a notamment participé à la fondation de l’Agence d'informations générales, locales, économiques et sportives.
*L’affaire de l’Hôtel-Dieu
Au début du XXe siècle, entre 1903 et 1909, Jules Courmont, avec l’appui du maire de Lyon, Édouard Herriot, annonce la suppression de la fonction hospitalière de l'Hôtel-Dieu et souhaite le démolir en grande partie, préconisant un maintien partiel du bâtiment. L’idée est de conserver uniquement sa façade, en bordure ouest du Rhône. Mais le projet est bien loin de faire l’unanimité parmi les Lyonnais. L'Hôtel-Dieu de Lyon est l'un des plus grands bâtiments de la presqu'île de Lyon. Construit le quartier de Bellecour, il est, historiquement parlant, le premier hôpital lyonnais : ses murs datent de 1184. Cette destruction, menée conjointement avec celle de l'Hôpital de la Charité, est censée compenser les investissements municipaux dans construction de l'hôpital Édouard Herriot. Alors que le projet a été voté au conseil municipal, l'État classe l'Hôtel-Dieu « monument historique », court-circuitant ainsi le projet de démolition et la création de nouveaux quartiers. L'hôpital Édouard Herriot sera tout de même construit.
Envie de publier une annonce légale dans Le Progrès ?
Source ACPM / OJD
Période | Diffusion France Payée | Diffusion Totale |
---|---|---|
PV 2022 | 135900 | 139903 |
PV 2021 1 | 143976 | 148211 |
PV 2020 2 | 151811 | 156113 |
PV 2019 | 159150 | 164186 |
PV 2018 | 166605 | 172267 |
1 PV 2021 : En 2020, suite à la crise sanitaire, les mois de Mars, Avril, Mai et Juin ont été neutralisés. Par conséquent, les chiffres d'évolution 2020-2021 ne sont calculés que sur les mois comparables.
2 PV 2020 : Suite à la crise sanitaire, les mois de Mars, Avril, Mai et Juin ne sont pas pris en compte dans le calcul de la moyenne. De plus, la période de référence 2019 comporte les mêmes mois neutralisés pour homogénéiser le calcul de l'évolution.
Fréquence: Quotidien
Jour(s) de parution: lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche
DATE | ANNONCE LÉGALE | CATÉGORIE | DÉPARTEMENT | JAL |
---|---|---|---|---|
05-11-2023 | LE SOMMIER JURASSIEN | Société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU) | 39 - Jura | Les Dépêches - Le Progrès |
05-11-2023 | MBOX10TRADERS | Société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU) | 39 - Jura | Les Dépêches - Le Progrès |
07-11-2023 | MATTECH ET SERVICES | Transfert de siège dans un autre ressort (autre département) | 39 - Jura | Les Dépêches - Le Progrès |
22-10-2023 | PRESTIJPLAC | Société par actions simplifiée (SAS) | 39 - Jura | Les Dépêches - Le Progrès |
15-10-2023 | LES DELICES DU SOLEIL | Transfert de siège dans le même ressort (même département) | 39 - Jura | Les Dépêches - Le Progrès |
15-10-2023 | HOME CONSTRUCTION | Société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU) | 39 - Jura | Les Dépêches - Le Progrès |
10-10-2023 | VIEIL HOPITAL | Dissolution et liquidation | 39 - Jura | Les Dépêches - Le Progrès |
11-10-2023 | MJD | Transfert de siège dans un autre ressort (autre département) | 39 - Jura | Les Dépêches - Le Progrès |
16-07-2023 | CAMBOUIS AUTO | Dissolution | 39 - Jura | Les Dépêches - Le Progrès |
09-07-2023 | DRIVE CLUB | Société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU) | 39 - Jura | Les Dépêches - Le Progrès |
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